L’écrivain contemporain de Mostar, Ibrahim Kajan, a écrit une dédicace incroyablement sage pour son livre « La ville de la grande lumière ». Tous ceux d’entre nous qui ont connu feu Hivzija Hasandedić pendant qu’il était vivant, le principal historien de l’ancien Mostar, sont venus « seuls » avec la dédicace de ce livre merveilleux à cette verticale de la spiritualité de la ville sur la Neretva.
Le livre » Ville de la grande lumière“ est merveilleux. Ce n’est pas à un récit de voyage, et pourtant c’est un récit de voyage ! Ce n’est pas la littérature indigène mais à la littérature cosmopolite, et pourtant c’est un livre profondément indigène. Cultivant la langue authentique de Mostar et une expression poétique extrêmement raffinée, Ibrahim Kajan a créé un petit miracle au milieu de Mostar.
Si je ne mentionne qu’un seul des titres des textes de ce livre puissant – Emina : La beauté que nous imaginons tous, alors j’ai suffisamment illustré l’imagination d’un poète de Mostar qui sait et sait écrire sur l’histoire de sa ville en façon profondément poétique. Avec la magie étrange d’un poète-écrivain voyageur, la nostalgie indigène et le fil d’or d’un interprète de l’histoire, mais aussi de la modernité de Mostar, Ibrahim Kajan va avec passion et dévotion exceptionnelle à toutes les vedutes de Mostar écrire des inscriptions en or sur Mujaga Komadina, à propos de la maison de Đabić, à propos d’Ivan Fran Jukić (Gutenberg à Vukodol), à propos des Lakišić pour leur haine de l’égoïsme, à propos de mon toponyme préféré de Mostar Turbet Šejha Juja, qui était et reste une source de légendes et d’énigmes, à propos de la mosquée d’Ijepotica Karađoz-beg , à propos d’Ijepotica Kriva ćuprija…
Ibrahim Kajan, dans son riche opus d’écriture poétique, de nouvelles, dramatiques et de voyage, inclut ce livre insolite…
Parce que la « Ville de la Grande Lumière » n’est pas qu’une collection de vedutes de Mostar…
Ce livre est un vrai histoire d’imagination et un la fantaisie sur les vérités de Mostar ! Il y a deux symboles est deux époques de Mostar qui se reflètent sur la couverture de ce livre.
Il y a une raison pour ça! L’œuvre de dotation de Bogdanović – le monument partisan et le Vieux Pont illuminé par la lumière de la Méditerranée, de Mostar…
Les éditeurs de ce livre, le Musée d’Herzégovine et IC Štamparija, j’en suis sûr, ne sont même pas conscients de ce qu’ils ont fait ? ! Histoire et présent, et imagination et réalité, un art brillant et des graphismes décents sont dans le même livre.
Après ce livre d’Ibrahim Kajan, Mostar a sa propre carte d’identité!